coincée (l’acropole) Et si nous nous demandons (Freud parle ici de lui-même et de son frère, avec qui il avait entrepris ce voyage en Grèce) pourquoi nous nous étions gâché dès Trieste le plaisir d’aller à Athènes, nous touchons à la solution du petit problème. Il faut admettre qu’un sentiment de culpabilité reste attaché à la satisfaction d’avoir si bien fait son chemin : il y a là depuis toujours quelque chose d’injuste et d’interdit. Cela s’explique par la critique de l’enfant à l’endroit de son père, par le mépris qui a remplacé l’ancienne surestimation infantile de sa personne. Tout se passe comme si le principal, dans le succès, était d’aller plus loin que le père, et comme s’il était toujours … Lire la suite → “coincée (l’acropole)”