car c’est une chose qu’on a tendance à oublier ces temps-ci,

lacan n’a pas dit : « y a l’un »,  il a dit : « y a DE l’un », le donnant cet un d’ores et déjà séparé de lui-même, insaisissable – réel. de l’un : y EN a. y en a éventuellement beaucoup. et c’est bien tout ce qu’on en a, de lui, de l’un; de l’un originaire n’avons qu’une part, cette part seulement se donnant pour preuve de l’existence de l’un (hors part). ceci bien sûr parce que même disant seulement  « il y a », on est déjà dans le symbolique.

(c’est peut-être la même chose pour le nom propre, qui résiste à se donner comme l’un, à me donner comme l’une)

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