jeudi, treize heures, jules au lit malade, s’est recouché à midi, faut que je me remette au boulot, ça n’était pas facile du tout, olala, olala, de parler à l’analyste, ce matin. dû, n’ai pas pu faire autrement, faire l’aveu de ce que je me croyais « obsessionnelle ». j’avais passé 2 jours à déborder de tous côtés de toutes sortes de choses à lui dire, de révélations, etc. et là, subitement plus rien.
tout s’en est allé. et il y aurait eu moins encore, si je n’avais relu mes notes d’ici, juste avant la séance. ai-je tort, raison d’écrire, là n’est pas la question.
je lui ai dit que j’empêchais frédéric de parler, que je m’étais rendu compte, que c’était moi, non lui, qui empêchais. comme rien de plus ne me venait, j’ai ajouté donc que j’avais lu un article sur l’obsession, et que…
après ça, c’était fini, n’ai plus rien pu ajouter. bah.