ce… « saisissement moelleux des corps » de Frédéric Lordon, comme il dit bien comment le capitalisme nous fait jouir . consommer est jouissance ( ça dé-pense , ça jouit) . nous cantonne au régime du chacun pour soi . et nos désirs se réduisent à ce que nous dictent nos addictions – l’addiction qui concerne la jouissance possible, celle du besoin rassasié (ce besoin que Lacan oppose au désir) . le capitalisme joue de ça, produire un discours qui nous autorise=pousse à jouir en dépit du désir (parce que le désir lui n’a rien à voir avec ça, le désir ne veut pas jouir . )
capitalisme appareille nos corps aux objets qu’il produit (autan tde machines gadgets à jouir) .
>nos corps bien a p p a reillés
apparentés à des machines, et que fait une machine d’autre que
ron ronner
machines nos corps ron-ronnent
machine n’a d’autre cause que sa fonction
.
.
(puis, oui, je crois que la petite communauté est aujourd’hui plus à même de soigner/ panser le désir ( (aussi par l’amour) (car l’amour est ce qui fait que la jouissance condescend au désir))
à une plus grande échelle / la ville ses anonymes/ la jouissance ne peut se réguler que par le droit (et la police) : c’est cap au pire on le voit
l’heure est au dire et à l’entendre, ce qui se bruisse. c’est pourquoi il faut prendre l’addiction comme symptôme