ici, les photos de ces pages d’Abîmes intérieursordinaires de Catherine Millot, qui m’ont tenue en haleine, que je n’ai cessé de me remémorer, de vouloir retrouver, qu’il me faut interroger encore, aimer encore, vouloir encore ; les photos faute d’avoir le temps de les recopier, ce que je ferai plus tard…
il était venu à mon secours en répondant que je pratiquais l’otium cum dignitate Le refus du travail relevait du défi mon étrangeté légitime… s’efforcer de se tenir prêt, mais pour qu’elle venue ? Que mon existence pût se résoudre à cette oscillation aussi dérisoire qu’énigmatique, que cette vaine entreprise en constituât peut-être le sens ultime me remplissait parfois de stupeur. être la place en attente du jour, sans cesse remis au lendemain, où je me mettrais à écrire. Mais ne tombais-je pas dans un cercle puisqu’écrire, verbe intransitif…. …. je finis par trancher en coupant ma vie en deux. me parla de « la merveilleuse solitude » où se tenaient les ecrivainsd’une liberté infinie dans l’absence d’espoir même
[…] L’appel du vide… […]
[…] Catherine Millot – L’appel du vide… (extrait d’Abîmes ordinaires) […]
[…] il me semblait parfois être la place en attente du jour, sans cesse remis au lendemain, où je me m…Abîmes ordinaires, Catherine Millot, p. […]
[…] « … il me semblait parfois être la place en attente du jour, sans cesse remis au lendemain, où…« Abîmes ordinaires, Catherine Millot, p. 56 […]