mais oui mais oui je vois très clairement les choses simplement je les vois clairement différemment tout au long de la journée ( vérité ne cesse de m’apparaître, beau visage toujours autre)
Mois : décembre 2005
i a m symptomaticly YOURS !!!
dear dear dear SYMPTOM have a seat please come on in back, you’re it’s all symptoms !!! s o think i lost nothing but symptom we wish you my a happy symptom , we wish you _______ good tu aim eras a happy symptom ton symptôme AND A happy comme toi-même ________________ it’s all so…
oignions, ognions, c’est trop con
ce soir l’autre soir/quel soir ses je ne t’aime pas ses tu ne m’aimes pas et ses etcaetera son calcul-là de moi petite bête cherchais, des jours et des jours tenue calme, voilà je tombais l’amour faire l’amour, pas faire d’amour pas d’amour, et combien de jours? suis-je venue nue au salon (salle de vie,…
parenthèse : m’oindre
je m’oins tu t’oins il s’oint nous nous oignons vous vous oignez ils s’oignent
les jours ont passé
que le désir d ’écrire puisse contenir ce qui de moi déborde quand _
parce que souvent ça me le fait trop
( « envoyée en l’air », je – ce que ça veut
chère laurette, que le désir d ’écrire puisse contenir ce qui de moi déborde quand _ parce que souvent ça me le fait trop ( "envoyée en l’air", je - ce que ça veut _et que le désir _d’écrire _contienne _fasse contenant _à ce qui _ s’en va (s’envoie) _ accueille fasse accueil (voix).…
ou être ou avoir (I)
olala quand je pense tous ces efforts que je fais pour essayer d’ un peu moins être et d’avoir un peu plus (supporter d’avoir un peu(parenthèse ouverte : même ce qui y cherche refuge ne trouve pas à s’y enfermer/clore)de vraiment très gros efforts (eux disaient la jouissance d’être privée, le prestige de l’apauvre qui…
(le retour)
retour de barcelone (tourisme). devant l’immensité des choses à faire, se taire, devant l’immensité, taire, y aller, de proche en proche, ne pas se poser de questions, ne pas évaluer, il faut ce qu’il faut, croiser les doigts mentalement, fermer les yeux mentalement, une chose et puis l’autre, et espérer que ça s’arrête, à un…
À barcelone
hôtel des cauchemars, toutes les nuits. dans un lit immense. dans la chambre, de moi des images toutes trop différentes. celle de la salle de bain tout à fait acceptable (mais je suppose que c’est comme dans les miroirs de magasins de vêtements, ils y accrochent des miroirs flatteurs et quand vous rentrez chez vous,…
Un nous, mon on, la castration, le don
On nous parle de la castration, on nous parle de l’horreur. Et là, il faudrait que je précise qui j’entends par «on» «nous», au nom de qui crois-je, veux-je parler quand je dis «on» «nous». Ce que déjà je peux en dire, c’est que c’est du côté de ce qui pour moi serait le public,…