simplement je les vois clairement différemment tout au long de la journée
( vérité ne cesse de m’apparaître, beau visage toujours autre)
Privé et abandonné < le monde à distance d'une lettre
dear dear dear SYMPTOM have a seat please come on in back, you’re it’s all symptoms !!! s o think i lost nothing but symptom we wish you my a happy symptom , we wish you _______ good tu aim eras a happy symptom ton symptôme AND A happy comme toi-même ________________ it’s all so SYMPTOM old symptom s y m p t o m MY SYMPTOM AND I - HI! - hi! - how are you & how’s your SYMPTOM once - GREAT! thanks! how is YOURS ??? upon it’s all but symptom a symptom never without my symptom. do you like my NEW symptom? nothing like a good symptom gimme back my symptom will you
ce soir
l’autre soir/quel soir
ses je ne t’aime pas ses tu ne m’aimes pas et ses etcaetera
son calcul-là de moi
petite bête cherchais, des jours et des jours tenue calme, voilà je tombais
l’amour faire l’amour, pas faire d’amour pas d’amour, et combien de jours?
suis-je venue nue au salon (salle de vie, tu entends) allons te dire salut salon je vais me coucher couchon tu vas quand même pas croire grognon que c’est moi chiffon qui de gong dirons salon allons allons tout rond baisons baisons-là tout rond besognons oignions-nous pas tous mous pour le coup sacré coup allons charles tout de même tu crois pas tu te magnes, tu crois pas tu te magnes non non …
Lire la suite → “oignions, ognions, c’est trop con”
echo «
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chère laurette,
que le désir d ’écrire puisse contenir ce qui de moi déborde quand _
parce que souvent ça me le fait trop
( « envoyée en l’air », je – ce que ça veut
_et que le désir
_d’écrire
_contienne
_fasse contenant
_à ce qui
_
s’en va (s’envoie)
_
accueille fasse accueil
(voix).
les mots, incriminés, qui t’ont choquée, sous ma plume,
je ne dis pas qu’ils veuillent
dire
grand chose (ce qu’ils veulent voudraient dire je ne le sais pas , le monde mon monde ne serait pas le même s’il n’y étaient pas, si je ne les avais eus (on me disait hier l’âme, ça ne veut plus rien dire, ça n’est pas moderne, je
retour de barcelone (tourisme). devant l’immensité des choses à faire, se taire, devant l’immensité, taire, y aller, de proche en proche, ne pas se poser de questions, ne pas évaluer, il faut ce qu’il faut, croiser les doigts mentalement, fermer les yeux mentalement, une chose et puis l’autre, et espérer que ça s’arrête, à un moment, arriver au bout du bordel ambiant, du bordel dans la tête. (vivre dans le noir.)
hôtel
des cauchemars, toutes les nuits. dans un lit immense.
dans la chambre, de moi des images toutes trop différentes. celle de la salle de bain tout à fait acceptable (mais je suppose que c’est comme dans les miroirs de magasins de vêtements, ils y accrochent des miroirs flatteurs et quand vous rentrez chez vous, vous vous rendez compte de l’immense erreur que vous venez de commettre), et puis l’image dans le miroir de la penderie : abomination.
le vieillissement : ça a commencé. c’est là .
j’aurai remarqué ça, comment les miroirs s’apprivoisent, mais c’est lentement, se font à vous, à l’image que d’eux vous attendez. ne me regarder que dans ceux qui me connaissent. dans le même esprit …
Lire la suite → “À barcelone”
On nous parle de la castration, on nous parle de l’horreur.
Et là, il faudrait que je précise qui j’entends par |