
je me sens toujours si bien à donn. ce qui est important ce serait de découvrir pourquoi. il y a bien sûr l’immense jardin, le parc. dans la maison, il y a l’espace, les grands espaces, le confort de ça. la chaleur, la profondeur de la baignoire. les meubles auxquels un usage clair est assigné. les choses à leur place. et qu’il ne s’agisse pas de mes propres meubles, peut-être, mais de ces meubles anciens, d’un autre confort, destinés à traverser les âges plutôt qu’à faire une mode. peut-être, peut-être, peut-être. cela n’est pas certain. j’avais pris des photos le week-end dernier, pensant essayer de saisir, ce qui. mais. non, pas vraiment. oui, je suis d’accord avec toutes les décorations, tous les objets, les cadres. seuls peut-être la tête de sanglier et et celle du cerf empaillés me heurtent-ils un petit peu.
et dans la cuisine aussi, je me sens bien. tout à l’heure, dans la cuisine de paris, je me disais, essayons, essayons d’aimer ici comme là-bas, à quoi ça tient. il faut chercher la beauté, la guetter, être disponible, s’accorder avec les murs, la lumière. je me demandais s’il fallait que je cherche à décorer l’endroit. l’entretien, certainement aide pour la proximité d’avec les objets. l’attention. pourquoi faut-il que me me sente tellement mieux dans les meubles d’un autre. que je sois dans un tel dégout des lieux où ma patte est en cause, soit perçue malgré mes efforts pour l’effacer. je ne supporte strictement pas que rien se décèle de mon désir. il est totalement impératif qu’il soit caché.