sa mère l’appelait toujours mon Sigi prodige…

Gaddis, toujours, « Agonie d’agapè » encore :

« Je professe pour ma part un idéal élevé, écrit-il (Sigi prodige) au révérend Oskar Pfister, dont les idéaux qui me sont connus s’écartent en général d’une manière des plus affligeantes. » Et ensuite juste pour bien montrer qu’il a trouvé bien peu de bonnes choses chez ces êtres humains, il dit au révérend Oskar Pfister « D’après ce que j’en sais ils ne sont pour la plupart que de la racaille », ils ont sûrement perdu de vue leurs objectifs n’en ont jamais eu au départ hormis le plaisir et voilà qu’arrive Bentham et son « jouer à la punaise vaut bien lire de la poésie si la quantité de plaisir
Lire la suite → “sa mère l’appelait toujours mon Sigi prodige…”

sur les traces du principe de réalité

Désireuse de retrouver ce qu’est le principe de réalité, suite à ces pensées de réveil de l’autre jour, je relis Freud.  C’est un vrai plaisir. Quelques extraits :

Sigmund Freud,  Essais de psychanalyse, Première partie – Au-delà du principe de plaisir (pbp – Petite Bibliothèque Payot)

augmentation / diminution quantité d’énergie

Aussi nous sommes-nous décidés à établir entre le plaisir et le déplaisir, d’une part, la quantité d’énergie (non liée) que comporte la vie psychique, d’autre part, certains rapports, en admettant que le déplaisir correspond à une augmentation, le plaisir à une diminution de cette quantité d’énergie.
[… ici un morceau de  phrase que je ne comprends pas1 ]
il est probable que ce qui constitue le


Lire la suite → “sur les traces du principe de réalité”
Top