[texte à venir]
c’est donc fête de l’inconscient,
ça croisse, ça croasse, ça grouille – multiplication des objets
fête des signifiants (des signifiants familliers (famille + milliers + familiarité) en souvenir du « famillionnaire »)
et sentiment d’étrangeté.
« ça jouit » mais je n’y suis pas pour autant chez moi (dans l’inconscient)
– je me sens cependant extrêmement bien au sortir de ce rêve, extrêmement forte, sage.
difficile cependant de pointer pourquoi je serais chez des nobles (bien sûr nécessaire pour la grande très grande famille et la fête et la grande demeure mais) et j’y éprouverais un sentiment d’infériorité, de non-appartenance. faut-il rapprocher cela de ce que j’ai pu éprouver par rapport aux psychanalystes – eux trop bien pour moi? et voir dans chef de la demeure, maître de maison de la fin du rêve, l’analyste ? à qui je finis par parler ? ou cette noblesse que j’accorde à l’inconscient se rapporte-t-elle à autre chose ? supériorité du réel ? force supérieure certainement. mais, qu’est-ce qui le rendrait aristocrate, qu’est-ce qui caractérise l’aristocratie ?