Lit. Ah, il est 7 heures du mat, j’ouvre un œil et le téléphone, j’écris le fracassemeur du moment: Tu te hais, tu te hais, tu te hais… À quoi je rétorque : Mais pourquoi ? Pourquoi ? Si seulement tu m’expliquais ça. Évidemment, pas de réponse.
Je me lève. Ricoré, salon noir. Dommage qu’il ne le soit pas davantage. La lumière orange qui filtre de la rue est de regrettable.
Difficile passage chez le coiffeur hier, et retour à la maison.
Tellement intimidée sur place. Les lumières si fortes. Le jeune coiffeur très charmant, gentil. Et l’horreur de me voir dans le grand miroir si éclairé. Je vois tout de suite que je n’aurais pas dû mettre de la …
Lire la suite → “dimanche 22 janvier”