Peut-être ne suis-je rien qu’un corps posé là dans le noir dans la chaleur d’un lit une grande main étrange posée ouverte sur la peau du ventre. Le temps que ça dure c’est l’infini.
Et puis, levée tout autre pour boire un café. Dans l’obscurité trébuche vers la lumière le temps d’apercevoir les fesses d’un autre corps posé là qui émergent d’une couette repoussée. Mes cheveux je devrais les couper je pense sans leur jeter un oeil dans le miroir de la salle de bain où je me couvre d’un peignoir. Dans le couloir me pencherais-je ou pas sur le chat qui vient vers moi. Je n’ai toujours pas de nom. La question qui se pose : que suis-je quand …
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— Atelier rien nulle part (essai 1)”